Nous revenons sur une édition 2024 réussie, riche en art, en émerveillement et en rencontres. Rendez-vous en 2027 pour une nouvelle édition de la Triennale de Courtrai!—Nous revenons sur une édition 2024 réussie, riche en art, en émerveillement et en rencontres. Rendez-vous en 2027 pour une nouvelle édition de la Triennale de Courtrai!—Nous revenons sur une édition 2024 réussie, riche en art, en émerveillement et en rencontres. Rendez-vous en 2027 pour une nouvelle édition de la Triennale de Courtrai!—Nous revenons sur une édition 2024 réussie, riche en art, en émerveillement et en rencontres. Rendez-vous en 2027 pour une nouvelle édition de la Triennale de Courtrai!—Nous revenons sur une édition 2024 réussie, riche en art, en émerveillement et en rencontres. Rendez-vous en 2027 pour une nouvelle édition de la Triennale de Courtrai!—Nous revenons sur une édition 2024 réussie, riche en art, en émerveillement et en rencontres. Rendez-vous en 2027 pour une nouvelle édition de la Triennale de Courtrai!—Nous revenons sur une édition 2024 réussie, riche en art, en émerveillement et en rencontres. Rendez-vous en 2027 pour une nouvelle édition de la Triennale de Courtrai!—
L’artiste écossais Nathan Coley donne une suite à son œuvre emblématique The Lamp of Sacrifice (140 Places of Worship, Courtrai) après 20 ans. Cette installation représente tous les lieux spirituels de Courtrai : des églises et chapelles à la mosquée locale, en passant par le centre bouddhiste, le tout sous forme de maquettes en carton. L’artiste s’est inspiré deThe Lamp of Beauty de John Ruskin. Dans cette œuvre, Ruskin affirme qu’il y a une différence entre l’architecture et un bâtiment : l’architecture a un sens alors qu’un bâtiment est purement fonctionnel.